mardi 16 novembre 2010

Le swing (en général)

Posture :
Toujours visualiser le coup avant de le jouer.
Grip : garder les mains bien parallèles l’une par rapport à l’autre, même pression dans chaque main (tension du grip pas trop forte) et constante durant tout le swing (éviter d’augmenter la pression durant le backswing).
Si tendance au slice, prendre un grip un peu plus fort et penser à swinger intérieur-extérieur.
Sternum au bout des chaussures.
Pousser les fesses en arrière mais éviter une posture trop assise.
Pieds et genoux légèrement ouverts.
Poids 55 % à gauche, 45 % à droite
Toujours faire des waggles avant la frappe.
Incliner le shaft en direction de l’objectif.

Backswing :
S'appuyer sur le genou droit ferme et fléchi à la montée.
Débuter avec un mouvement des mains et des bras, faisant un bloc solide avec le corps. Bonne connexion, bras gauche bien collé au corps.
Takeaway : ne pas amener le club sur une trajectoire trop intérieure.
Faire tourner les épaules avec un angle franchement descendant.
Deux mouvements : déplacement latéral et rotation des épaules, avec un différentiel entre la rotation des hanches (45°) et les épaules (90°). Il est plus important de bien tourner les épaules que les hanches.
Le mouvement doit être lent au début et en rythme ensuite, entre 0,5 et 1 seconde.
Le départ (one piece takeaway) se fait par le triangle bras épaules, avec une action des épaules et des hanches.
Le déplacement latéral initial se fait par le corps entier épaules, hanches et tête. Le transfert de poids sur le pied arrière se produit à ce moment. Les mains se trouvent en face de l’axe nombril-sternum. Le déplacement latéral doit être réalisé lorsque les mains passent au niveau de la poche droite. Lorsqu’il est parallèle au sol le club doit être parallèle à le ligne d’objectif.
Rotation des épaules lorsque que le club est horizontal.  L’épaule gauche doit tomber légèrement. La tête du club est légèrement fermée et dans l’axe. L’axe de rotation est la jambe droite. La rotation n’est pas complète lorsque le bras gauche est horizontal. La colonne vertébrale doit rester centrée, ne pas déplacer la colonne vers la droite à la montée.
Déconnexion bras-corps lors du takeaway. Les bras s’éloignent du corps pour empêcher un parcours trop intérieur. Cela entraîne un arc plus large, donnant plus de puissance et permettant de mieux placer le club. Les bras restent toujours devant le sternum lors de la rotation.
La face du club est légèrement fermée lors de la montée grâce à un grip correct.
Les poings sont armés à 90° lorsque les bras sont horizontaux.
Rythme du backswing : lent puis plus rapide. Lorsque le bras gauche est parallèle au sol, le shaft coupe l’épaule droite. Bras, épaules et club doivent atteindre le sommet du backswing en même temps. Au sommet du swing, la colonne est légèrement inclinée vers l’objectif.
 
Descente :
Garder toujours le regard en face de la balle.
Pieds, genoux et hanches sont les premiers éléments à bouger ; le mouvement part du bas du corps, qui dirige le haut durant la descente.
Les bras débutent la descente alors que le dos reste tourné.
Bien tourner la hanche avec le bas du corps.
Mouvement vers l’avant du bas du corps, glissement des hanches vers l’avant.
Les hanches tirent les épaules.
Bien caler le coude droit contre le corps (penser à un swing de base-ball).
Penser à la sensation de passer un coup de pinceau.
Attaquer la balle de l'intérieur vers l'extérieur.
Frappe descendante pour compresser la balle.
Penser à faire tomber son épaule droite par en-dessous en laissant son coude droit connecté au corps.
Le genou droit pointe vers la balle au moment de l’impact.
Effet retard : retarder le délai entre le moment où les mains passent en zone d’impact et l’impact.

Impact :
La rotation des hanches a permis de dégager la hanche gauche.
Shaft incliné vers l’avant mais pas trop, mains devant la balle, manche en avant de la tête du club (« pinceau »), poignet gauche légèrement armé.
Contacter la balle, puis la terre (« balle-terre »).
Le bassin est stabilisé (légère ouverture de 15 ° par rapport à la cible).
A l’impact, le poids du corps, stable, repose sur la jambe gauche, les hanches se relâchent vers l’avant et poussées vers le haut elles glissent en direction de l’objectif ; le haut du corps s’incline vers l’arrière, la colonne vertébrale s’éloigne de l’objectif ; le fessier rentre sous le bas du dos.
Poignet gauche square par rapport à la cible (penser à taper la balle avec le dos de la main gauche) ; c’est l’avant-bras gauche qui amène la face du club square.

Follow-trough :
Ne pas s’arrêter à l’impact, accompagner avec le bas du corps.
Les bras, bien allongés, restent sur la poitrine.
Epaule droite plus basse que la gauche.
Le genou droit se rapproche du gauche.
Jambe gauche tendue.

Finish :
Tourner complètement les épaules (épaule droite vers la cible).
Conservez les bras tendus. Sortir dans l'axe, Ne surtout pas faire pivoter les bras vers la gauche.
Boucle de ceinture vers l’objectif, hanches et épaules perpendiculaires par rapport à la ligne d’objectif, coudes pliés, poignets réarmés, shaft du club en diagonale derrière la tête.
Tenir le finish immobile, bras sur la poitrine, jusqu’à ce que la balle s’arrête.

Si la balle est au-dessous des pieds

La balle va dévier vers la droite en slice, donc s’aligner sur la gauche, club et position.
Prendre le club au bout du manche pour maximiser sa longueur.
Garder le poids sur les talons et fléchir plus les genoux (sensation de s’asseoir dans la pente) pour créer un bon balancier pendant le coup.

Si la balle est au-dessus des pieds

La balle va dévier vers la gauche en draw : s’aligner sur la droite, club et position.
Prendre le club plus bas pour raccourcir sa longueur.
Garder le poids sur les orteils et garder un balancier stable pendant le coup.

Coup en fade (courbe gauche-droite)

Alignement à gauche, stance ouvert.
Alignement du club vers la cible.
Jouer la balle un peu en avant dans le stance.
Frapper le club le long de la ligne des pieds, des hanches et des épaules.
Le club ouvert à l’impact courbera la balle de gauche vers la droite.

Coup en draw (courbe droite-gauche)

Alignement à droite, stance fermé.
Alignement du club vers la cible.
Frapper le club le long de la ligne des pieds, des hanches et des épaules.
Le club fermé à l’impact courbera la balle de droite vers la gauche.

L'approche roulée (fer 7 ou 8)

Posture :
Mettre la balle plutôt au niveau du pied droit ( 5 cm à gauche du gros orteil).
Réduire le stance (30 cm entre les 2 talons) et l’ouvrir (pied gauche en arrière).
Mains en avant de la tête du club, à la verticale de la balle.
Incliner le corps vers la cible.
Poids du corps (80 %) sur le pied avant.

Geste :
Geste de put, en plus ample.
Ne pas jouer des poignets ; poignet gauche verrouillé plat.
Laisser la tête de club le long du sol, avant et après la balle.
Pincer la balle à l’impact et traverser la balle.
Extension des bras, tourner le corps vers la cible au moment de l’impact.
Pour faire sortir la balle du rough (si la balle est très enfoncée, choisir un sandwedge), la mettre plus proche du pied droit (manche du club un peu en avant) et prendre un grip plus ferme.

L'approche levée (SW ou fer 9)

Posture et départ :
Balle au milieu des pieds ou plus près du pied gauche.
Bien poser la semelle du club à plat ; se relaxer.
Placer le poids du corps sur l’avant des pieds (épaules à la verticale de la pointe de pieds).
Main sur cuisse gauche ; raccourcir le grip ; garder les mains devant la tête de club.
Ne pas trop serrer le grip, main droite relâchée (pour des pitchs en hauteur, grip léger).
Poids plus sur le pied avant.
Bien tourner les épaules ; demi-swing ; embrasser chaque épaule ; doser la distance via l’amplitude.
Bien armer les poignets ; attaquer avec un angle vertical (frapper vers le bas), surtout ne pas chercher à soulever la balle.

Impact :
Accélérer à l’impact ; taper sous l’équateur.
Garder le club au raz du sol ; bras collés au corps.
Bras gauche et club alignés à l’impact.
Basculer poids du corps du pied droit vers le pied gauche.

Finish :
Lancer les mains vers le drapeau en laissant un espace avec le corps.

Si la balle est dans le rough : pour éviter de gratter, adopter une montée plus verticale en armant les poignets (les garder fermes) dès le début du swing.

Le drive

Posture :
Choisir sa ligne d’objectif et toujours visualiser le coup avant de le jouer.
Maintenir le contact visuel avec l’objectif à plusieurs reprises lorsque l’on prend sa posture.
Prendre une bonne inspiration.
Stance un peu plus large que les épaules, mais pas trop large ce qui rendrait la rotation plus difficile ; pieds légèrement évasés (un peu plus le gauche) ; balle à l’intérieur du talon gauche ; regarder l’arrière de la balle ; épaule gauche plus haute que l’épaule droite ; ligne des épaules légèrement à droite de l‘objectif ; garder le dos bien droit.
Bout du club à 15 cm de la boucle de ceinture, un peu sur la gauche.
Bas du corps bien solide et stable (sentir que les pieds sont bien ancrés au sol ; genoux au-dessus des lacets ; faire des petits déplacements de pieds pour bien trouver sa position), poids à 60 % sur le pied droit.
Bien relâcher le haut du corps (faire des petits waggles pour décontracter les bras) ; ne pas crisper la mâchoire (garder la bouche ouverte, siffloter un air dans votre tête).
Dos bien droit, pas rond.
Adopter un grip léger et essayer de le conserver tout au long du mouvement.

Backswing :
Le mouvement part des grands muscles du buste (dorsaux et abdominaux), départ en bloc buste-bras-mains, mains et poignets passifs.
Partir lentement le long de l’herbe le plus longtemps possible, sur la ligne d’objectif ; conserver le bras gauche tendu (mais pas rigide…), éloigner les mains le plus loin possible de la tête (qui reste fixe) et du corps.
Relâcher un peu le genou gauche (peut être rapproché légèrement du droit) pour faciliter la rotation.
Tourner les hanches, ne pas les laisser glisser vers la droite (sinon, pivot inversé !).
Tourner complètement les épaules autour du côté droit.
Transférer le poids sur la jambe droite jusqu’au sommet du swing, bien résister avec le genou droit, mais ne pas laisser la jambe droite se tendre (verrouiller le genou droit).
Epaule gauche à hauteur du menton.
Bien conserver l’amplitude du bras gauche le plus allongé possible.
Les bras ne doivent pas continuer à monter après avoir fini la rotation du corps (le club, les bras et le corps doivent arriver au sommet au même moment).
Le shaft à l’horizontale est parallèle à la ligne des pieds. Surtout, éviter l’overswing.

Descente :
La descente débute avec le bas du corps (effet ressort). Ne pas la démarrer trop vite.
Coller le coude droit au corps (éviter « l’aile de poulet », génératrice de slice), amener le poids sur le côté gauche.
Pas de « canne à pêche » : ne pas lancer le club depuis le sommet du swing mais maintenir l’armement des poignets en « tirant sur la cloche » (en descendant les mains vers le bas, le shaft étant pointé vers la balle). Venir de l'intérieur.
Empêcher l’épaule droite de tourner vers la cible, mais la laisser tomber vers la balle. Ne pas descendre « par le haut du corps » en laissant l’épaule droite inactive.
Ne pas se relever, maintenir la flexion des genoux ; accentuer légèrement la flexion du genou droit.
Faire revenir le club de l’intérieur (l’amener sur une trajectoire intérieure vers l’extérieur) : la trajectoire de descente est à l’intérieur de la trajectoire de montée.
Les genoux partent vers l’avant.
Tourner les hanches rapidement en effaçant la hanche gauche (elle ont déjà commencé de tourner vers la cible quand le club arrive à l’impact).
Eloigner la colonne vertébrale de l’objectif.
Au moment de l’impact, le dos de la main gauche est face à la cible.
Redresser la jambe gauche à l’impact et remonter la hanche gauche.

Finish :
Lancer la tête du club vers la droite.
Passer les bras (tendus) ; laisser glisser la tête de club le long de l’herbe le plus longtemps possible (ne jamais s’arrêter dans la balle).
Garder la colonne vertébrale inclinée vers le sol.
Garder le regard fixé sur le point d’impact (ne pas tourner trop rapidement la tête pour suivre la balle des yeux, mais ne pas la bloquer non plus, accompagner la trajectoire ensuite).
Libérer la tête de club ; extension des bras sur la ligne d’objectif (bras droit et shaft alignés), penser à « serrer la main » de l’objectif, maintenir les bras tendus après la frappe avant de replier en relâchant, corps en position de C inversé.
Tirer l'épaule gauche derrière le talon gauche.
Bien tenir le finish immobile jusqu’à ce que la balle s’arrête.

Le chip

Toujours visualiser le coup avant de le jouer.
Armer légèrement le poignet droit et le laisser stable.
Maintenir le triangle entre les bras et le torse, bras connectés au buste.
Mains toujours en avance sur la tête du club.
Laisser la tête du club aussi basse que possible après l’impact.
Tourner le corps vers l’objectif.
Si la balle repose en hauteur sur des brins d’herbe, réduire la largeur du stance, la jouer en arrière, faire un mouvement de balayage (comme pour un long putt)  en réduisant l’action des jambes ; si la balle est enfoncée dans l’herbe, la jouer au centre d’un stance un peu plus large, armer les poignets, attaquer la balle sur un plan vertical et laisser les jambes glisser en direction de l’objectif.

La sortie de bunker

Toujours visualiser le coup avant de le jouer.
Adopter un stance assez large ; ouvrir le stance (reculer pied gauche) et orienter la ligne des épaules vers la gauche ; bien ancrer les pieds au sol.
La balle doit être dans l’alignement du pied gauche.
Poids du corps sur pied avant (à accentuer à la descente).
Raccourcir le grip ; bien ouvrir la face du club en l'orientant vers le ciel.
Mains devant la tête du club, mains et shaft juste derrière la balle.
Bien armer les poignets rapidement pour avoir une descente de balle plus verticale et jouer un coup en hauteur. Ne pas oublier de tourner les épaules.
Garder les jambes très stables durant le backswing mais tourner le bas du corps en direction de l’objectif au moment de l’impact.
Taper 3 à 5 cm avant la balle.
Sable dur, swing doux ; sable mou, swing fort.
Traverser la balle en accélérant.
Suivre la pente après l’impact.
Lancer  les bras vers l’objectif.
Plus la lèvre est haute, plus le finish doit être haut.
Penser à bien projeter du sable sur le green.
Dos de la main gauche tournée vers le drapeau en sortie face au ciel.
Si la sortie est en montée :
- mettre la plus grande partie du poids sur le pied arrière
- épaules parallèles à la pente
- swing agressif en suivant la pente
- sortir le bras vers le ciel
Si la sortie est en descente :
- prendre un stance très large
- balle plutôt en arrière
- épaules parallèles à la pente
- mettre poids sur pied avant
Pour que la balle s’arrête plus rapidement (coups courts) : prendre le grip un peu plus dans les doigts pour ‘recouvrir’, ouvrir la face du club, prendre un backswing très vertical, lancer rapidement le club avec la main droite.

Le putt

S’entraîner à glisser le put le long d’un shaft ou entre 2 shafts (si putt rectiligne) et avec un club coincé sous les bras.
Toujours visualiser le coup avant de le jouer.
Toujours prendre le temps d’enlever le gant, de marquer et de nettoyer la balle, de lire les pentes.
Tenir compte du vent pour prendre sa ligne.
Se tenir plus droit.
Balle sous œil gauche, poids un peu en arrière.
Pression relâchée.
Balancier des épaules sans bouger les poignets, ni le bas du corps.
Répartition du trajet : 1/3 en arrière, 2/3 en avant.
Pour les putts très courts, ne prendre presque pas d’élan.
Ne pas taper la balle, mais la traverser comme un coup de pinceau.
Accélérer le mouvement (descente deux fois plus rapide que la montée).
Après l’impact, le manche doit être dans le prolongement du bras gauche.
Surtout, ne pas tourner la tête, ne pas quitter des yeux l’endroit de l’impact.

Quelques autres petits conseils

Ces conseils précédents sont à utiliser lors de l'entraînement. Jamais en parcours. Sur le parcours, ne penser qu’à 2 ou 3 choses simples avant de frapper, à choisir dans la liste suivante : bien rester ferme au niveau des jambes, mains relâchées, démarrer lentement et le long de l’herbe, ne pas bouger la tête, bien tourner les épaules avant la frappe, allonger le bras gauche, pas d’overswing, contacter « balle-terre », laisser le club le plus longtemps possible au niveau du sol après la frappe, bien tourner face à la cible, tenir la position au finish.
Toujours compter ses coups et son score sur un parcours, même en partie amicale détendue.

A l’entraînement, si vous consacrez X minutes au practice, il faut consacrer X minutes au petit jeu d’approche, plus X minutes au putting, plus X/2 minutes à la sortie de bunker.
Au practice, visez toujours une cible, ne tapez jamais dans le vide. Laissez au moins 50 secondes entre chaque coup, pour vous recaler, vous reconcentrer et vous repositionner, ne tapez jamais « à la mitrailleuse ». Analysez, corrigez, essayez autre chose, changez de timing, variez les distances, fixez-vous des défis (exemple : je ne change de club que quand j’ai réussi parfaitement X fois de suite ce que je voulais faire).

Au putting, ce qui compte n’est pas de passer tout près du trou (et de filer très loin !), mais de s’arrêter à proximité, dans la zone de sécurité : le dosage est plus important que la direction.

Quelques rappels d’étiquettes. Ne faites qu’un coup d’essai (vos partenaires et ceux qui suivent vous en seront reconnaissants), c’est suffisant. Mais faites le correctement et à fond (touchez le sol, finissez votre geste), derrière votre balle et dans la bonne direction. Puis mettez-vous rapidement en position et ne restez pas immobile trop longtemps devant la balle (vous perdriez votre influx nerveux et votre timing), envoyez la sauce rapidement.
Marchez toujours rapidement sur le fairway. Soyez en permanence attentif à ce qui se passe autour de vous, devant et derrière. Criez « Balle ! », fort, si nécessaire, même pour la balle d’un partenaire. Regardez où tombent les balles de vos partenaires. Aidez-les à les chercher, si nécessaire. Marquer votre score à l’arrivée au trou suivant. Soyez toujours prêt à jouer, anticiper les mouvements. Dès que vous entrez sur un green, cherchez le pitch à relever (même si ce n’est pas le votre) et soyez attentif aux lignes de vos partenaires.

Regardez, le plus possible, des images dans les revues spécialisées, des vidéos de golf sur internet et des tournois à la TV : la mémoire visuelle est efficace.
Bon golf ! Et n'oubliez jamais qu'une mauvaise journée au golf vaut mieux qu'une bonne journée au boulot !